dimanche 19 août 2007

La grippe espagnole

La grippe espagnole était-elle bien une grippe ?

La Grippe espagnole, de sinistre mémoire, anéantit en deux ans cinq fois plus de vies humaines que la Grande Guerre mondiale.

On a dit : c’était la peste, le choléra.

Eh bien, voici la vérité jusque-là tenue secrète, sur cette mystérieuse épidémie.

En 1917, un Espagnol, le docteur L., découvre au Pérou la formule El Sapo (le crapaud) appartenant à la célèbre pharmacopée inca – encore inconnue – dont les six médicaments de base composent la « Formule Cascarilla » qui passait pour guérir toutes les maladies (1).

La formule El Sapo est extrêmement dangereuse, car elle provoque des mutations par l’effet d’un agent catalyseur, les diastases du sang de crapaud.

Bien que prévenu de ce danger, le docteur L., sitôt rentré en Espagne, se retire dans le laboratoire de son hacienda andalouse, dans la province de Malaga, et commence à entretenir des bouillons de culture qu’il inocule à un cochon.

Au cours des expériences, une culture se mute en donnant une souche virulente qui tue l'animal.

Si le Dr L. avait incinéré le cadavre, il est probable que des millions de vies humaines auraient été épargnées. Criminellement, le biologiste voulut en savoir davantage ; il autopsia le cochon et continua ses études, sans s’apercevoir que sa femme et son fils étaient tombés malades et présentaient les symptômes du mal qu’il analysait.

Mme L. et son fils moururent, premières victimes du fléau que l’on devait baptiser grippe espagnole. Bientôt la souche virulente contamina tout le village, puis la province de Malaga, puis l’Andalousie, puis l’Espagne entière.

En 1918, la maladie microbienne, qui présentait certaines analogies avec le choléra et la peste, étendait ses ravages sur l’Europe et sur toute la Terre. Il y eut 3 millions de morts en Europe occidentale, 15 millions en Extrême-Orient, 25 millions en tout.

Voilà comment naquit le terrible fléau qui ramena en plein XXe siècle les obscures terreurs de nos ancêtres, quand sévissait la peste.

Le Dr L. ne fut pas atteint dans sa chair ; il ne fut puni que dans son cœur, dans sa descendance et ne fut même pas inculpé.

Pour ceux qui préparent le programme de la nouvelle ère, ère du Verseau, disent les occultistes, ère du Condor, assurent les américanistes, nos temps sont ceux des apprentis sorciers.

Extrait de « Histoire inconnue des Hommes depuis cent mille ans » de Robert Charroux, p. 272-273 (Editions Robert Laffont)

1 commentaire:

Glycinia a dit…

Bonjour,
J'ai déjà lu cet article dans le livre que vous mentionnez.