jeudi 27 novembre 2008

Oui, on peut neutraliser les pédophiles

Les pédophiles seraient des malades déments au moment des passages à l'acte qui, s'ils vont en prison, devraient être soignés et rééduqués. Les nouvelles dispositions prévoyant même au terme d'une peine de réclusion de trente ans de demander l'avis des psychiatres avant de libérer les criminels.
Or, ce sont ces mêmes humanistes, à la Badinter, qui ont tout fait pour que les violeurs d'enfants n'aillent pas derrière les barreaux.
N'ont-ils pas inspiré et rédigé le nouveau Code pénal si terriblement laxiste dans ce domaine ? Les articles 122-1 et 122-2 disposent : « N'est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes. La personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes demeure punissable, toutefois la juridiction tient compte de cette circonstance lorsqu'elle détermine la peine et en fixe le régime. N'est pas pénalement responsable la personne qui a agi sous l'empire d'une force ou d'une contrainte à laquelle elle n'a pas pu résister. »
On frémit à l'idée du parti que pourraient tirer d'un tel texte, les 50 000 individus fichés comme pervers sexuels dans l'ordinateur de la Police judiciaire.
Cette même intelligentsia de gauche, s'appuyant sur la fameuse nouvelle psychiatrie, nous a répété à longueur de temps que la folie n'existe pas, ou que « nous sommes tous des fous » et que les perversions ne sont qu'une invention de la société répressive - l'homme étant par nature un pervers polymorphe, et la seule différence résidant entre ceux qui « passent à l'acte » et ceux qui « refoulent ».
En résumé, le normal est celui qui couche avec les petits garçons ou les petites filles. Le professeur Breton, dans un entretien au Journal international de médecine, en tant que psychiatre des prisons de la Santé, de Melun et de Fresnes, fait litière de ces délires permissifs. « Le fait, affirme-t-il d'avoir des relations préférentielles avec des vieillards ou des enfants constitue une déviation qui n'est pas propre au commun des mortels, il y a là quelque chose qui est de l'ordre du pathologique. »
Cédant à leurs funestes penchants, nos intellos post-soixante-huitards se sont opposés à toutes les solutions destinées à régler le problème des crimes pédophiles, Ils ont aboli la peine de mort. Ils ont, pendant plus de vingt ans, combattu les remèdes médicaux aux déviances sexuelles, parlant d'atteinte inacceptable aux droits de l'homme, se contrefichant des droits des petits enfants.
C'est vers le milieu des années 60 que des scientifiques éminents, comme le professeur H.P. Klotz, mirent en évidence les effets d'une antihormone mâle, l'acétate de cyprotérone, dont le nom commercial est Androcur, habituellement utilisée dans le traitement du cancer de la prostate. En effet, ce médicament provoque la suppression des pulsions sexuelles irrépressibles, et ce, sans effet secondaire notable.
Aussitôt, certains crièrent au scandale, parlant de « castration chimique ». Le terme utilisé n'était pas innocent. Il faisait référence à des castrations expérimentales réalisées notamment en Allemagne. L'amalgame produisait son effet. Or, contrairement à la castration chirurgicale, les effets du traitement par antihormone, l'Androcur, donné par voie orale, ou par implants dont la durée d'action est de 28 jours (le Zolvadex), sont réversibles mais surtout curatifs.
Ceux qui refusèrent d'expérimenter à une large frange de population carcérale impliquée dans des affaires de mœurs sont les complices objectifs des assassins d'enfants. A l'Assemblée nationale, les socialistes ont voté la dépénalisation de la pédophilie.
Ceci explique cela, Il faut soigner les pervers, durant toute leur vie et même contre leur gré.
Les études de criminologie apprennent que, quelle que soit la personnalité de l'auteur de l'infraction sexuelle, il y aura toujours récidive.
Qu'on ait affaire à des débiles, des déments, des maniaques, des névrosés ou des pervers, ils recommenceront toujours.
La société qui a pour devoir de protéger les plus faibles de ses membres, notamment les enfants, a l'obligation de s'attaquer au problème des récidives.
✍ Dr L. PERENNA National Hebdo Semaine du 31 mars au 6 avril 1994

1 commentaire:

Anonyme a dit…

fred mitterang connard bendith daniel ont passés aux actes,sont de gauches!quelle lie mes aieux mais quelle lie!
Excellent blog je le recommande autour de moi histoire de remettre les pendules a l'heure de mettre aussi du plomb en tête!un grand merci!
Dominique.